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Guide des Quartiers

Située au sud du département de l’Essonne à 55 km de Paris, 40 km de l’aéroport international d’Orly et 30 km d’Evry, Milly-la-Forêt détient une situation géographique stratégique. La ville couvre une superficie de 3 380 hectares et compte 4 697 habitants au 1er janvier 2020. Tout comme les villages environnants, Milly-la-Forêt s’est développée sur les flancs des vallées, laissant pratiquement indemne de toute urbanisation, les plateaux, bois et terres agricoles. La culture des plantes médicinales et aromatiques a fait la richesse et la renommée de la ville, particulièrement au XIXe siècle. Aujourd’hui, la tradition demeure, avec le Conservatoire national des plantes, deux boutiques d’herboristerie situées sur la place du marché dans lesquelles on peut se procurer la fameuse menthe poivrée de Milly-la-Forêt et l’entreprise Darbonne-Darégal présente à Milly-la-Forêt depuis 1897. Depuis 1999, la ville fait partie du Parc Naturel Régional du Gâtinais français. Commune carrefour, son site, sa qualité de vie, ses monuments classés ou inscrits et sa proximité immédiate du massif de Fontainebleau en font un pôle touristique fort du sud de l’Ile-de-France. De nombreux artistes dont Jean Cocteau, Jean Tinguely et Niki de Saint-Phalle ont grandement contribué à la reconnaissance culturelle de la ville qui reste un lieu de villégiature très apprécié de nombreux peintres, sculpteurs et écrivains. Aujourd’hui, Milly-la-Forêt est une commune moderne qui offre à sa population des infrastructures et équipements de qualité (Zone d’Activités Économiques, écoles, collège, structures d’accueil de la petite enfance, CCAS, espaces culturels, médiathèque, gymnase, stade, centre de loisirs, piscine, etc.) tout en conservant son caractère historique et rural.
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Milly-la-Forêt
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Située au sud du département de l’Essonne à 55 km de Paris, 40 km de l’aéroport international d’Orly et 30 km d’Evry, Milly-la-Forêt détient une situation géographique stratégique. La ville couvre une superficie de 3 380 hectares et compte 4 697 habitants au 1er janvier 2020. Tout comme les villages environnants, Milly-la-Forêt s’est développée sur les flancs des vallées, laissant pratiquement indemne de toute urbanisation, les plateaux, bois et terres agricoles. La culture des plantes médicinales et aromatiques a fait la richesse et la renommée de la ville, particulièrement au XIXe siècle. Aujourd’hui, la tradition demeure, avec le Conservatoire national des plantes, deux boutiques d’herboristerie situées sur la place du marché dans lesquelles on peut se procurer la fameuse menthe poivrée de Milly-la-Forêt et l’entreprise Darbonne-Darégal présente à Milly-la-Forêt depuis 1897. Depuis 1999, la ville fait partie du Parc Naturel Régional du Gâtinais français. Commune carrefour, son site, sa qualité de vie, ses monuments classés ou inscrits et sa proximité immédiate du massif de Fontainebleau en font un pôle touristique fort du sud de l’Ile-de-France. De nombreux artistes dont Jean Cocteau, Jean Tinguely et Niki de Saint-Phalle ont grandement contribué à la reconnaissance culturelle de la ville qui reste un lieu de villégiature très apprécié de nombreux peintres, sculpteurs et écrivains. Aujourd’hui, Milly-la-Forêt est une commune moderne qui offre à sa population des infrastructures et équipements de qualité (Zone d’Activités Économiques, écoles, collège, structures d’accueil de la petite enfance, CCAS, espaces culturels, médiathèque, gymnase, stade, centre de loisirs, piscine, etc.) tout en conservant son caractère historique et rural.
Boutigny-sur-Essonne Boutigny-sur-Essonne est située sur la rivière Essonne, dans son cours supérieur, là où l’eau est encore propre et le plus souvent très claire. Le paysage est boisé, puisque faisant partie de ce massif qui joint les forêts de Fontainebleau et de Rambouillet. L’origine du nom de Boutigny-sur-Essonne viendrait des anciennes formes Botegnacio, Boutigniacum et Botigniacum qui indiquent peut être sa formation à partir de l’anthroponyme romain Botegnacio avec le suffixe latin de propriété -accus, complété avec le nom de la rivière. Boutigny et sa région sont riches en vestiges préhistoriques, en particulier sur les massifs rocheux dominant l’Essonne, qui ont pu fournir des abris aux populations préhistoriques. On trouve de nombreux dessins et gravures de cette époque. C’est ainsi que fut découverte en 1953, dans la grotte de la Justice à Boutigny, une très belle peinture à base d’ocre, très bien conservée, représentant un bovidé au pelage tacheté. Notez que d’autres sources disent qu’il s’agit d’un cheval. De nombreux vestiges des périodes suivantes – âge du fer, âge du bronze – ont également été retrouvés sur le territoire de la commune, toujours dans les massifs rocheux : roches sculptées, silex taillés, objets de bronze, vestiges d’habitat. En 1789, Boutigny compte environ 580 habitants. Comme dans beaucoup de villages français, un “Cahier de doléances” est rédigé. Il est écrit avec les conseils d’un M. Pineau de Villeneuve, magistrat, et signé entre autres par deux botignacois nommés Froyer et Henry Charpentier, qui furent désignés comme députés. Après une introduction demandant l’égalité des citoyens devant l’impôt, les revendications portent sur la chasse aux pigeons, les corvées, la gabelle, et plus généralement les impôts supportés par le peuple. A partir de 1792, les registres d’État Civil sont tenus par la municipalité, et signés “Froyer, officier public”. Sous le Premier Empire, vers 1810, Boutigny dénombrait : 3 charrues à la Grande Ferme de Marchais et 2 à la ferme appartenant au domaine de Vayres, à Marchais, 1 à la ferme du Mesnil-Marchais, 2 à la Petite Ferme de Duroure, à Marchais, 1 à la ferme du Pressoir, 1 à la ferme de Pasloup. N’oublions pas la vigne, qui occupait à cette époque 57 hectares sur la commune. La fin du 19e siècle et le début du 20e ont vu un grand essor des carrières, créant une activité importante. A la Belle Époque, Boutigny était considéré comme l’une des “capitales du pavé et de la bordure de grès”. Une centaine de carrières occupait environ 300 habitants sur 800. Cette activité avait attiré des métiers complémentaires : forgerons, charrons, bourreliers, mais aussi des cafés et des pensions. L’activité était encore facilitée par la présence de la voie ferrée, qui permettait d’expédier chaque jour vers Paris de 15 à 20 wagons de pavés et de bordures. L’église Saint-Barthélémy Construction en calcaire de Beauce , début XII° – XIII° – XIV° – XIX° siècles. Seuls le transept et la tour carrée  datent de l’église primitive. Clocher  XIIe siècle, hauteur de 26 mètres. Avant juillet 1741, il était dominé par une flèche détruite par un ouragan. Le portail date du XIIIe siècle. La cloche de l’église a été fondue sous le règne du roi Henri II, et installée en 1557. Elle pèse 817 kg, et est faite de bronze. Son diamètre est de 1,10 m. Elle sonne avec un diapason MI n°3, de 326 vibrations, et 1 BAS de 1 coma. Elle s’appelle “MARIE”, et l’on trouve sur ses flans l’inscription suivante : “La cloche de notre église DE MARIE porte le nom. Pour jubiler par son parfait le Dieu de paix et d’union l’an 1557” Une restauration portant sur les oreilles soutenant la cloche sur son mouton, et la recharge au niveau des points de frappe a été effectuée en 1997 / 1998. Un nouveau beffroi a également été réalisé. L’inauguration a eu lieu le 28 mars 1998.
Boutigny-sur-Essonne
Boutigny-sur-Essonne Boutigny-sur-Essonne est située sur la rivière Essonne, dans son cours supérieur, là où l’eau est encore propre et le plus souvent très claire. Le paysage est boisé, puisque faisant partie de ce massif qui joint les forêts de Fontainebleau et de Rambouillet. L’origine du nom de Boutigny-sur-Essonne viendrait des anciennes formes Botegnacio, Boutigniacum et Botigniacum qui indiquent peut être sa formation à partir de l’anthroponyme romain Botegnacio avec le suffixe latin de propriété -accus, complété avec le nom de la rivière. Boutigny et sa région sont riches en vestiges préhistoriques, en particulier sur les massifs rocheux dominant l’Essonne, qui ont pu fournir des abris aux populations préhistoriques. On trouve de nombreux dessins et gravures de cette époque. C’est ainsi que fut découverte en 1953, dans la grotte de la Justice à Boutigny, une très belle peinture à base d’ocre, très bien conservée, représentant un bovidé au pelage tacheté. Notez que d’autres sources disent qu’il s’agit d’un cheval. De nombreux vestiges des périodes suivantes – âge du fer, âge du bronze – ont également été retrouvés sur le territoire de la commune, toujours dans les massifs rocheux : roches sculptées, silex taillés, objets de bronze, vestiges d’habitat. En 1789, Boutigny compte environ 580 habitants. Comme dans beaucoup de villages français, un “Cahier de doléances” est rédigé. Il est écrit avec les conseils d’un M. Pineau de Villeneuve, magistrat, et signé entre autres par deux botignacois nommés Froyer et Henry Charpentier, qui furent désignés comme députés. Après une introduction demandant l’égalité des citoyens devant l’impôt, les revendications portent sur la chasse aux pigeons, les corvées, la gabelle, et plus généralement les impôts supportés par le peuple. A partir de 1792, les registres d’État Civil sont tenus par la municipalité, et signés “Froyer, officier public”. Sous le Premier Empire, vers 1810, Boutigny dénombrait : 3 charrues à la Grande Ferme de Marchais et 2 à la ferme appartenant au domaine de Vayres, à Marchais, 1 à la ferme du Mesnil-Marchais, 2 à la Petite Ferme de Duroure, à Marchais, 1 à la ferme du Pressoir, 1 à la ferme de Pasloup. N’oublions pas la vigne, qui occupait à cette époque 57 hectares sur la commune. La fin du 19e siècle et le début du 20e ont vu un grand essor des carrières, créant une activité importante. A la Belle Époque, Boutigny était considéré comme l’une des “capitales du pavé et de la bordure de grès”. Une centaine de carrières occupait environ 300 habitants sur 800. Cette activité avait attiré des métiers complémentaires : forgerons, charrons, bourreliers, mais aussi des cafés et des pensions. L’activité était encore facilitée par la présence de la voie ferrée, qui permettait d’expédier chaque jour vers Paris de 15 à 20 wagons de pavés et de bordures. L’église Saint-Barthélémy Construction en calcaire de Beauce , début XII° – XIII° – XIV° – XIX° siècles. Seuls le transept et la tour carrée  datent de l’église primitive. Clocher  XIIe siècle, hauteur de 26 mètres. Avant juillet 1741, il était dominé par une flèche détruite par un ouragan. Le portail date du XIIIe siècle. La cloche de l’église a été fondue sous le règne du roi Henri II, et installée en 1557. Elle pèse 817 kg, et est faite de bronze. Son diamètre est de 1,10 m. Elle sonne avec un diapason MI n°3, de 326 vibrations, et 1 BAS de 1 coma. Elle s’appelle “MARIE”, et l’on trouve sur ses flans l’inscription suivante : “La cloche de notre église DE MARIE porte le nom. Pour jubiler par son parfait le Dieu de paix et d’union l’an 1557” Une restauration portant sur les oreilles soutenant la cloche sur son mouton, et la recharge au niveau des points de frappe a été effectuée en 1997 / 1998. Un nouveau beffroi a également été réalisé. L’inauguration a eu lieu le 28 mars 1998.

Gastronomie

Super produit, Acceuil chaleureux.
Les Delices Fromagers
28 Pl. du Marché
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Commerce

Jardin de Fei
40 Grande Rue